Découverte choquante : les Bélugas forment des sociétés complexes sans liens de parenté !

Articles similaires

Une découverte surprenante sur les relations sociales des bélugas

Autrefois, on pensait que les bélugas entretenaient des interactions uniquement au sein de leurs cercles familiaux, tout comme les orques et les éléphants. Or, suite à des études menées dans diverses régions de l’Arctique, il apparaît que leurs sociétés seraient beaucoup plus élaborées. Ces cétacés sont capables de constituer d’importants rassemblements composés de centaines, voire de milliers d’individus, de sexes et d’âges différents, sans lien de parenté. Grâce à leur communication vocale avancée, les bélugas peuvent entretenir un contact sonore régulier avec leurs connaissances même lorsqu’ils ne font pas partie du même groupe, à l’image de nos propres sociétés humaines.

Les dauphins : des apprenants au contact de leurs groupes

Les grands dauphins sont reconnus pour leur méthode unique de pêche, qui s’apparente à l’usage d’outils. Ils parviennent à piéger les poissons dans d’ample coquillages vides avant d’en consommer le contenu. Une équipe de chercheurs britanniques et suisses, lors de leurs observations sur la côte ouest australienne, a découvert pour la première fois que les dauphins pouvaient apprendre cette technique non seulement de leur mère, mais aussi de leurs pairs. Ceci prouve que les comportements culturels peuvent aussi être acquis horizontalement chez les cétacés, à l’instar des grands singes et des humains.

Cachalots : Coopération pour une chasse optimisée

L’analyse de données acoustiques recueillies lors de la mission Sphyrna Odyssey, en Méditerranée, a révélé une information fascinante sur les cachalots. Ces superprédateurs marins sont en mesure de former des alliances pour scruter les profondeurs et chasser en orientant leurs émissions sonar dans une direction commune. Bien qu’ils restent à une distance de 500 m les uns des autres, ils synchronisent leurs actions et leurs mouvements en partageant des informations sur le fond marin et les proies par leurs « clics ». Cette coordination leur permet d’avoir une meilleure perception de leur environnement, en multipliant les points de vue. Cela témoigne de leur intelligence, mais également de leur vulnérabilité face au bruit, puisque ce type de communication n’est possible qu’en zone silencieuse.

Un croisement inusité : le wholphin

Pour en savoir plus sur le monde fascinant des cétacés, n’hésitez pas à consulter notre article sur le wholphin, un croisement rare entre une orque et un dauphin.

Commentaires

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Derniers articles